Derniers petits souvenirs de la phase de terrain du PLIZ 2012, qui a permis de collecter, grâce à vos défis fous, plus de 3.000 euros au profit de La Faim prend Fin. En attendant les vidéos, que les équipes sont en train de monter…

Comme annoncé il y a quelques jours, les Spiritual Boulets ont eu l’honneur du Journal des Sables, à la une et en intérieur (sur toute une page !).

Bravo à la journaliste Marion Travers, qui a parfaitement compris et expliqué le projet, et lui a réservé une si belle place ! Merci aussi à Rémi pour le contact !

12 ème jour de PLIZ, et donc deuxième journée bonus offerte au PLIZ par les Spiritual Boulets. Marc n’arrive pas à décrocher et promet d’autres défis ces prochains jours ! Même topo pour les Anym Anonym, qui ont continué les défis malgré la reprise du taf. Résultat : grâce à vous tous, les Plizeurs 2012 ont fait tomber le record mythique du PLIZ : plus de 3.000 euros collectés !

Défis réussis : 6, 42, 69, 71, 100, 115, 116, 117. (Voir le tableau des défis à jour).

En banque virtuelle pour la Faim prend fin : 3.000 euros (à consolider).

Et retrouvez les photos du PLIZ 2012.

Des nouvelles des Anym Anonym ? Y a qu’à demander. Ils vont bien, merci. Après leur week-end au Touquet Pôle Nord, Amélie et Ben, qui ont repris le travail, n’en ont pas moins gardé l’âme du Plizeur.

Une pluie de photos insolites a émaillé ces derniers jours, ainsi que de nouvelles traversées de passages piétons en mode phobique.

Contrairement à leurs concurrents, les AA sont méthodiques. Le défi N°1 n’est pas fini, il faut le finir. A ce jour, il reste trois petites marches à exécuter.

Ben et pas Nuts ont également pris le temps d’accrocher le défi N°100 à leur tableau de chasse. Ou plutôt de pêche (du calme, Romain), puisque c’est Lieu qui leur demandait… d’appeler un ami.

Là, si vous n’avez pas suivi le PLIZ au microscope optique, vous vous dites : “Sympa, le défi, même l’ami s’y retrouve”.

C’est négliger une dimension importante : il faut appeler ce poto tous les quarts d’heure, pendant deux heures !

Rappelons que Marc, des Spiritual Boulets, avait tenté la chose. Mais, justifiant son nom d’équipe, il s’était déclaré incapable d’aller au bout.

La raison en était simple : le p’tit bou des Spi Bou, un peu trop prolixe comme l’a révélé Anne-Cé, bavardait à chaque fois plus de 15 minutes….

…

D’où décalage, accumulation de retard, forfait pété et défi foireux. Mais l’ami a dû y trouver son compte !

Avec les Anym, là aussi, c’est beaucoup plus sérieux. Amélie a retrouvé son chargeur et son organisation en rentrant à la maison.

“J’ai appelé une copine, à chaque fois une minute, en lui disant des choses différentes, jusqu’à lui proposer un verre. Elle n’a rien compris et m’a dit : “t’es bizarre… tu viens de m’appeler tu sais ?”

Détail amusant : après le défi, alors qu’elle en avait le droit, Amé n’a toujours pas vendu la mèche à sa cops ! Celle-ci doit toujours se demander si notre Plizeuse n’était pas prise en otage par la mafia russe.

Toujours dans la série “je suis barge et j’aime ça”, Miss Orléans du Var a refait des siennes, se pavanant lunettes de soleil au pif, filmée de près par un fan.

Du côté des Spiritueux, il a fallu dire bye bye aux Sables. Sur une note confortable, puisque nos amis se sont fait offrir la nuit pour un défi.

Mais le trajet du retour ne devait pas se passer sans embûche. Volontaire. Marc a donc eu les yeux cachés par une serviette (explication de la photo publiée en tête du billet d’hier) pendant tout son trajet en train… et tellement plus.

Il s’agissait de la demande de Marie V. de passer une journée de 10 à 20 heures les yeux bandés, guidé par son coplizeur.

“Romain me guidait. Comment les gens me regardaient ? Bizarrement.”

-Euh, Marc, tu avais bien les yeux bandés ?

-Oui, oui, c’est Romain qui m’a dit. Une dame a cru que j’étais un terroriste… ou un mauvais garçon puni, je ne sais plus.”

Et l’addition s’est rapidement corsée, puisque les SB s’étaient mis en tête de refaire le défi crabesque de Lu, avec démarche latérale et pincements dans le vide doigts joints.

C’est donc tout en sobriété et sans discuter sur le numéro de sa place dans la voiture 19 que Marc a gagné son siège.

“J’ai dormi, c’était hyper confortable.” Le succès du PLIZ se mesurera au nombre de businessmen serviette enroulée autour de la trogne que vous croiserez dans le cheval de fer.

Traversant la France et Paris avec cette contrainte visio-lookesque, Marc s’est pris le poteau dans lequel l’a dirigé le sien, de poto et a craint pour sa vie à chaque descente de trottoir. (Ben oui, rapporté à sa taille…)

“C’était super flippant !” résume notre héros. Son équipe, qui s’est disloquée, aura pu, avec l’aide des Anym, boucler d’autres fils rouges ou assimilés : caser du Franche-Comté partout comme demandé par Guy et Claire, se gratter le zen à chaque prononciation de défi ou Pliz, ne plus (pour Marc) prendre un air condescendant sur les vidéos FB (demande de Fix) et ne jamais accepter le poste de sélectionneur de l’Equipe de France, malgré les 4 ponts d’or proposés aux deux équipes (défi de Reno) !

Avec son lot de photos insolites aussi, les Spi Bou ont calculé pouvoir compter sur un défi fleurant bon la physique quantique, lancé par Vincent et portant sur la division par 100 du résultat (quasi) final. C’est donc avec un nombre composé d’un 3 et d’un, et deux et trois zéros que les Spi Bou et les Anym peuvent s’unir pour chanter ses mots si bien écrits “Po… popopopopo…po”.

Un tour en coulisses de l’appel à Marc : sous mes yeux de téléphage distrait, une perchiste se réceptionne mal. Je crie de douleur. “Ah… tu regardes les J.O. ? dit Marc en pensant très fort à “Manu, défi 110″. Tu peux me promettre de regarder aussi les Jeux Paralympiques ?”

Ah, bien vu, l’aveugle…

11^ème et avant dernier jour du PLIZ. Que du bonus pour les Spi Bou, qui ont décidé généreusement de prolonger leur séjour pour venir en aide aux défavorisés de la Faim prend Fin. Et pour cette journée, c’est pas la quantité qui compte, mais la qualité !

Défis réussis : 67, 82, 99.

En banque virtuelle pour La Faim prend Fin : 2.790 euros. (Voir le tableau des défis à jour).

Et retrouvez les photos du PLIZ 2012.

Bon allez, la fatigue se fait sentir, je vais essayer de rédiger ce Jour après Jour assez tôt et aller me pieuter aussitôt après. 20h, j’appelle les gars : « Ah ben là, en fait on a un truc à faire avec 40 filles, tu tombes mal… »

Ah… Décidément les Spi Bou ont la cote auprès de ces dames… Bon pas grave, ils me rappelleront quand ils auront fini.

Moi pendant ce temps, je vais en profiter pour me mettre ce joli vernis vert anis. Non, non calmez-vous, pas de scoop, suivez un peu, c’est moi Anne-Cé, qui écris ! Jack ne se fait pas de manucure… enfin je crois pas…

Bref, le rappel aura finalement lieu aux alentours de 23h47… C’est Marc qui s’y colle une fois de plus

- « Bon déjà hier soir j’ai passé la nuit dans la cabane qu’on avait construite (défi de Perche). C’était sympa mais il y avait plein de tiques. Bon sinon ça sera pas long, on n’a pas fait grand-chose aujourd’hui… On a fini les 10 jours réglementaires de PLIZ, ça sonnait donc la fin de la plupart des défis fils rouges. Dont celui de Jo, surtout, qu’on a fini par détester (le défi… pas Jo, quoique…). Maintenant on peut manger tout ce qu’on veut ! »

- « Ok, je vois, donc j’ai bien noté ce que vous n’avez pas fait, mais tu sais, moi je dois raconter aux gens ce que vous avez fait… Donc je dis quoi ? »

- « Ah ben oui, c’est sûr mais c’est vrai qu’il y a des défis plus durs que l’on ne croit… Et ça nous fait vraiment mal au cœur de ne pas pouvoir les faire… Par exemple, épeler le nom de la première dame… Ben on a dû demander à 50 personnes… Entre ceux qui nous disaient « b..r..u..n..i », ceux qui ne connaissaient pas cet « objet » et ceux qui se plantaient dès la 2^ème lettre… Ben on n’en a pas eu un seul ! Alors 5 n’en parlons pas… »

- « Oui Marc, haha, c’est drôle, génial, super, top… Mais AUJOURD’HUI, vous avez fait QUOI ? »

- « Ah oui aussi, tu sais le défi people de Pimpim ? Ben pareil, nada… Les filles sur la plage ne lisent que de la littérature étrangère, du Nietzsche, des analyses financières… Pauvre France ! Tu sais pourtant moi j’aurais bien aimé qu’on parle du divorce de Katie Holmes et Tom Cruise, c’est important quand même ! »

- « C’est même génialsupertop… Mais, MARC… JE T’EN PRIE, IL EST MINUIT, VOUS AVEZ FAIT QUOI COMME DÉFIS ???? »

- « Hmmm, ben on s’est levés vers 13h du mat… Tiens ça me rappelle qu’on a tenté plusieurs fois le défi des vêtements féminins aussi, dans plusieurs magasins… Mais figure toi qu’ils n’avaient plus que des tailles S et M et aucun de nous ne rentrait dedans. C’est pas faute d’avoir maigri à cause du défi de Jo… tu sais c’était vraiment très dur…

En entendant des sanglots dans sa voix, je décide d’y aller mollo.

- « Ok… oui, vous avez assuré sur celui-là ! C’est génial, super, top… Donc euh tu disais 13h du matin… ? »

- « Oui, on est donc partis à 14h du matin… Mais c’est étonnant, on a dû passer dans une sorte de faille temporo-spatielle, enfin sparo-tempotielle parce que tout à coup il était 18h… Et on n’a pas du tout vu passer le temps »

- « Hmm oui, certainement, ça arrive ces choses là… Génial, super, top. Donc… les défis… ? »

- « Ben on a répété toute la journée sur un parking avec des danseuses pour le Flashmob lancé par Clem. Enfin de 18 à 20h quoi. Puis le soir, à 20h13 tapantes, on a fait le flashmob au camping des Pirons. On était 60, il y avait des hauts parleurs, une table de mixage, une foule en délire, c’était top ! D’ailleurs on voudrait dire un grand merci à la présidente du club sablais de twirling et à Chloé, elles nous ont bien aidés ! »

- « Ah, génial, super, top ! Ben donc vous avez quand même fait quelque chose ! »

- « Oui carrément, pis après on était sur une bonne lancée, du coup on est allés voir la gérante du camping, Véronique. Elle était hyper sympa, on lui a expliqué notre démarche, l’asso et elle nous a offert la nuit dans son camping (défi de Tatiana) ! »

- « Ouf ça va, l’honneur est sauf… 3 défis et pas des moindres… »

Et voilà, le récit de cette journée s’achève ainsi… Le PLIZ, c’est des moments drôles, des moments forts, des moments durs aussi ;-) Le PLIZ c’est surtout le courage des plizeurs, la générosité des lanceurs de défis et aussi tous les gens super sympas rencontrés sur le terrain et sans qui ça ne serait pas possible.

Voilà, nos ptits gars rentrent au bercail aujourd’hui, ils doivent être dans le train à l’heure où je vous parle. Ils comptent bien relever d’autres défis pour égaler ou dépasser le record, voire même passer la barre des 3000, soyons fous ! Allez les gars !

Ce dixième jour du PLIZ 2012 sent l’Histoire à plein nez. Les Spiritual Boulets, déchaînés, font une nouvelle journée à 140 euros. Mais ils voient aussi la fin de plusieurs fils rouges, qui leur ont lié les pieds, les mains et l’estomac pendant cette décadente décade. Et re- 140 euros. Ce qui fait un total rondelet de 2.500 euros. Et ce n’est pas fini : les Spi Bou offrent un bonus sur leur temps de vacances, pour aller taquiner le record des Kanibal Donuts en 2010 : 2.883 euros !

Défis réussis : 13, 20, 25, 50, 51, 53, 54, 84, 98, 101.

En banque virtuelle pour La Faim prend Fin : 2.500 euros. (Voir le tableau des défis à jour).

Et retrouvez les photos du PLIZ 2012.

Est-ce l’effet J.O. qui les motive ? “Aujourd’hui on s’est levé très tôt ! A 9 h 30 !” Après une douche usurpée au camping voisin (surtout pour Romain, Etienne et Marc préférant curieusement consolider la cabane), les Spi Bou se sont retroussé les manches.

Pas de ptidej, pas de dej, et des obstacles qui s’amoncellent sur la route des Plizeurs. Comme ce gamin tout nu qui s’empale sur la jambe de Marc, suivi par une “sprinteuse à reculons”, un sport fatalement très risqué pour les spectateurs.

Refoulé à la mairie pour sa tentative de mariage gay, le trio (ah oui, ça clochait de toute façon) a honoré un rendez-vous agréable avec une représentante du Journal des Sables.

“C’était très intéressant, elle m’a posé une question qui m’a fait réfléchir”, retranscrit Marc. Bel exploit pour la journaliste, ça n’était pas arrivé depuis un cimetière de la banlieue parisienne, il y a 9 jours.

“Pour lui fournir de belles images, on a fait le défi du car-washing sexy… Enfin, on l’a fait faire par Emeline, qui a convaincu un automobiliste breton.”

Là, on pourrait croire à de la flemme. Mais c’est tout le contraire : c’est un extreme-combo ! Le lavage (défi de John), réalisé par un non-Plizeur (défi des Tourtô), et immortalisé devant la presse (défis de Loopi et de Marta), ça s’appelle du grand, grand art.

Oui, la présence médiatique est importante pour deux défis : si Marta exige un passage dans la presse, Loopi souhaite voir un exploit de nos Plizeurs apparaître en “une” dudit canard.

“La journaliste nous a dit que c’était sûr. Ca paraîtra jeudi prochain, mais je considère que c’est relevé !” Marc, la confiance faite Plizeur.

Un autre qui a la pêche, c’est Romain. Le “foufou de la night” a abordé un pêcheur, justement, en lui proposant de le remplacer 10 minutes (défi de Sole) et surtout de remplir son seau désespérément vide.

Il nous a dit “pas de problème. Le seul truc, c’est que je ne prête pas ma gaule.”

….

“Meuh non, je blague. De toute façon, ça ne mord pas.” Du reste, pour ne pas être impoli, Romain, dit l’Egorgeur des Ténèbres, n’a pas fait trop mal à la faune piscicole locale.

Marc, pendant ce temps, taillait le bout de gras avec le pêcheur, qui a oeuvré de 6 à 61 ans et son pote chasseur. C’est peut-être la partie la plus difficile de ce défi.

Avec un point rouge persistant dans la rétine (correspondant à un bouchon trop longtemps fixé), notre ami a pu superviser l’achèvement de plusieurs défis “fil rouge” : un SMS envoyé à une énième Marie, une vidéo postée sur Face de Bouc, une ultime VDM tournée face caméra et surtout une reprise de l’alimentation unique interdite par Jo pendant dix longs, très longs jours.

“On a aussi fini les 30 endroits où danser à la Where The Hell is Matt, Fix ! hurle Marc. Mais refusé de se livrer à un défilé de vêtements féminins. Ils étaient trop moches.”

Ah, le PLIZ, partir au soleil découvrir sa part d’ombre… Souhaitons que les jours “bonus” permettent aux Spi Bou de remplir encore leur besace. Pour info, il y a du très, très lourd au programme. Un beau bouquet final. Mais je ne vous ai rien dit.

Le 9 ème jour du PLIZ 2012 a vu les Spiritual Boulets se découvrir de nouveaux talents. Enfin, des talents. Bon, ok, des défauts intéressants. Et du coup, boum, encore 140 euros pour La Faim prend fin.

Défis réussis : 2, 18, 47, 59, 85 (Voir le tableau des défis à jour).

En banque virtuelle pour La Faim prend fin : 2.220 euros.

Et retrouvez les photos du PLIZ 2012.

« Hier soir , donc, on a mangé du goulbi… du bougli… enfin des chamallows, des carambars et des choco pops. »

On ne le croirait pas, mais c’est ce que Marc m’aura dit de plus normal cette soirée de 9 ème jour de PLIZ.

Les Spiritual Boulets ont terminé la soirée précédente par un bain de sang, virtuel bien sûr. Emeline avait reçu Call of Duty Modern Walfare 3, sur X-Box et… Attendez, c’est moi ou on s’en fout ?

Romain aussi n’en a eu cure et il est allé se pieuter (précisons-le, dans un lit, vous aurez compris que nos Spi Bou ont réussi à squatter, une fois de plus, chez l’habitante).

« Romain prenait toute la place, et quand je lui ai lancé un tapis de sol, normal quoi, il s’est levé, prêt à m’en mettre une, puis s’est rendormi ! »

Le lendemain, Romain finit par admettre cette révélation, typique du PLIZ : il est somnambule. Autre signe étrange : « il s’est levé à 7 h 30 ! En pleine nuit quoi ! » Le géant au cœur d’or (et aux pratiques nocturnes agressives) a alors voulu rassurer Etienne et Marc sur sa normalité.

Ainsi, il a emporté tongs, scotch, barres de fer et béquilles pour faire du ski sur la plage. Ah, c’est tout de même un défi, celui de la Tourism’Team. Pour lequel il a rendu hommage aux Bronzés à coups de discours sur le planter du bâton (mais pas dans la tête de Marc, tout compte fait).

« Il s’en est très bien sorti », apprécie prudemment sa victime potentielle. « Il mérite sa 18 ème étoile ».

Romain a ensuite montré qu’il avait des qualités quasi-militaires. Il a réussi à se camoufler de façon très originale derrière une vitre parfaitement transparente, pour filmer l’intérieur d’un supermarché.

Là aussi, pas de panique, il s’agissait d’un défi, celui de Roro, pour lequel la caissière a répercuté le message de Marc : Etienne était attendu de toute urgence à l’accueil. Mais pas n’importe comment, puisque le taré chevauchait « tu sais, pas un caddie mais un panier bleu ou rouge avec une grande anse ».

Plus les béquilles, qui auraient pu vraiment lui servir deux secondes plus tard. L’imprudent s’est en effet magistralement éclaté la tronche devant les caissières, mortes de rire.

Tiens, signalons que les Anym Anonym, en termes de moyen de transport, ont eu l’occasion de faire du stop devant… une soucoupe volante… d’où la difficulté à les joindre régulièrement.

Se dirigeant vers la plage, Marc a alors avisé « un groupe d’environ 13 jeunes » (vous allez comprendre.)  « Ils marchaient sur la plage, puis sont allés se baigner. Etienne a filmé de loin et je suis allé leur dire de sortir de l’eau (défi de Julien P.) »

Mais pour quelle raison ? Vous pensez alors à de trop forts courants, ou une invasion de requins, ou de méduses, comme celle-ci, justement aperçue à proximité ?

Non, Marc a eu cet éclair : « Vous ne devez pas rester là, c’est une plage pour vieux. »

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« Pardon ? » « Oui, c’est réservé aux vieux ici, a continué Marc, sans un regard pour les 4 bébés situés à 2 mètres. »

Huit filles finissent par quitter l’eau, puis les quatre gars aussi, in extremis ! « Enfin, quatre-cinq gars, ils devaient être treize environ ».

Mais pourquoi cette superstition subite ? «  On les a rappelés, on leur a expliqué et ils ont bien voulu jouer au frisbee avec nous ». (toc, le défi d’El Mexicano tombe rôti dans l’escarcelle !)

Les Spi Bou pouvaient alors penser « SMS sympa » (à Anne et Marie dernièrement) et VDM filmée (des défis « fil rouge »).

Marc se lance ensuite dans un exposé de 3 h 45 dont lui seul a le secret. Prenez une respiration, ça va bien se passer : « Je tente souvent le défi de Pimpin, sur la presse people, mais il y a deux sortes de filles : soit elles ne lisent plus, soit elles lisent des best-sellers, des mots croisés ou même… un livre du code de la route ! Non mais qui lit ça sur la plage ? »

« En même temps, c’est rassurant… sauf pour le PLIZ. Le truc drôle, c’est que je suis le seul con avec un Closer dans mon sac. Eh, tu savais que Katie Holmes revit ? Et que Rihanna a vu son ex secrètement à Saint-Tropez ? »

Explorant à fond sa nouvelle identité, Marc a demandé les papiers pour un mariage homo… Mais non, la mairie était fermée. « J’ai aussi voulu défiler en vêtements féminins… mais je n’avais pas de sous-vêtements. »

Etienne me donne la transition parfaite en ayant voulu explorer les dessous… du PMU. Dans un vaste bar très sympa, ses deux compères l’attendent en lisant un journal troué (une astuce à la mode).

Le skateur de Carrefour Market (ça fait tueur en série non?) aguiche un client et lui demande des conseils sur le PMU. « J’y comprends rien. Moi, mon domaine de compétence, c’est la physique quantique. »

Etienne, devant un compagnon très intéressé, regrette de ne pas avoir pu aller beaucoup plus loin que : « La physique quantique heurte le sens commun à plusieurs égards. Sa description du monde microscopique, radicalement nouvelle, s’appuie sur de nouveaux postulats. »

Que ceux qui n’ont jamais appris une page Wikipédia pour un défi de Vincent lui jette la première pierre. Aïe, aïe, n’en jetez plus !

Marc, occupé à renverser un Schweppes agrumes, réalise que le tournage en « caméra café » (« eh ouais, qu’est-ce tu crois, hier, rue Napoléon, j’ai dit qu’il devait y avoir un bon appart ’ ! ») ne rendra pas forcément super bien.

Une nouvelle fois, ils font une « double la mise pour le PLIZ », avec un système breveté il y a des années par d’anciens Plizeurs. La captation est renforcée par une prise de son via un téléphone allumé dissimulé sur/dans Etienne, qu’on entendra parfaitement.

Demain, les Mc Gyver du pauvre nous apprendront comment construire un hélicoptère avec une allumette usagée et un melon.