Les conditions

Cette page a pour but de vous raconter les conditions de notre périple, le PLIZ (pélerinage laïc et inflexion des zygomatiques) qui a lieu 10 jours en été et de faire une petite mise au point sur nos limites (si, si, on en a !)

Le principe : les Plizeurs partent par duos, liste de défis en poche, et peuvent choisir leur itinéraire. Ils font généralement de l’auto-stop et de la marche, sac de randonnée sur le dos et dorment sous tente. Ils subviennent à leurs frais de voyage, n’ayant rien à voir avec l’argent des défis, qui va directement du lanceur à l’association caritative partenaire (envoi de chèque qui a de toute façon lieu après le retour).

Deux cas de figure :

• si les Plizeurs échouent (faute de temps parfois), rien ne se passe.

• s’ils vous prouvent le succès (par photo, film ou autre, après leur retour), vous passez généreusement à la caisse, par chèque directement libellé à l’association partenaire. (Important : vous restez seuls juges de la réussite du défi).

Les critères

De tout ce qui précède, vous l’aurez déduit : nous ne sommes pas des professionnels aux frais illimités, suivis par un car de la production, une équipe de télé… et les valeurs morales qui vont avec. Soucieux de conserver notre liberté et une certaine image du projet, nous vous demandons :

1. D’éviter les défis localisés (aller au stade Vélodrome ou dans le village de vos potes), c’est très dur en auto-stop et on compromet 15 défis pour en réussir un
2. D’éviter les défis qui nous chargent trop le sac à dos, ou nous obligent à faire des frais de folie, parfois supérieurs au don en jeu !
3. De respecter notre esprit “potache, bon enfant”. Pour le trash, de la bataille de fromage blanc au strip-tease en pleine messe, voir les crétins décérébrés prêts à tout pour la gloire, même à subir le sadisme irréfléchi des gens (se rappeler qu’une cause comme celle que nous servons ne mérite pas ça).

Si l’un de ces points vous pose difficulté, pas de drame, nous pourrons en discuter ensemble après un premier lancement de défi.

Pour ceux qui nous défieraient sans intention de respecter leur promesse de don : n’oubliez pas que ce serait escroquer une bonne cause.

Pour les autres : merci beaucoup.