Les Plizeurs font la une ! Par ici

Allez voir les premières photos du PLIZ 2011

Pour la première fois depuis le départ, la pluie s’est invitée sur le PLIZ… Pas de panique ! Marc, Fix et Jack n’en sont pas pour autant restés pelotonnés dans leur tente, à l’abri des gouttes. Ils ne sont pas en sucre ! Ils ont un moral d’acier, une volonté de fer et un corps en fonte (en fonte ?)…

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Mais avant de commencer ce debrief du jour, avez-vous bien tous regardé la vidéo postée dans le Jour après jour d’hier ? Oui ? Vous avez donc tous pu jouer à la version LMG de « Où est Charlie » : Où sont les PLIZEURS ?! Ceux qui ont trouvé, on ne souffle pas ! Il faut laisser les autres chercher…

Ceci étant dit, retour aux Sables-d’Olonne où « on a commencé la journée en nous levant » dixit Fix. Certes, une information d’une telle importance, un scoop aussi croustillant, ne pouvait pas échapper à l’amatrice d’anecdotes originales sur nos PLIZEURS que je suis. Impossible de garder ça pour moi ! Le récit s’annonçait bien, mais Jack décide de prendre les choses en main accompagné de Marc, laissant Fix à sa « méditation face au soleil couchant ». Que c’est beau !

« Je me suis levé le premier, le cœur vaillant » raconte Jack qui vit le PLIZ dès le saut du lit. « J’ai décidé de réveiller Fix en lui lançant un verre d’eau, mais il avait déjà ouvert les yeux… ». Les KD se sont donc retournés contre le seul représentant encore debout (ou plutôt couché à ce moment-là mais ça commence à devenir confus), réveillant Marc avec un verre d’eau fraîche. Les KD avaient lancé les hostilités ! La journée entière a ainsi été ponctuée des jets de projectiles liquides (verres d’eau voyons…). Une quinzaine au total selon les comptes (approximatifs ?) des PLIZEURS. Dont 8 dirigés contre le pauvre Marc. « J’étais mouillé, il fallait que je me sèche ».

C’est sous un ciel maussade et menaçant que Marc partit faire bronzette, sur une place publique, où deux âmes généreuses acceptèrent de lui crémer le dos. En même temps, et mesdemoiselles vous serez d’accord avec moi, qui pourrait résister ? Toucher la caution sportive du PLIZ… Oindre ses muscles gonflés… Pardon, je m’égare…

Pendant ce temps, les KD décidèrent de filmer une dédicace émue à la « famille » de Vincent Fayo. Une spéciale dédicace qui réchauffera le cœur des intéressés. Puisque de cœur il est question dans ce clip et de corps aussi… Mais je ne vous en dit pas plus. La vidéo parlera d’elle-même ! Un peu de suspense ne fait pas de mal que diable…

Malgré une pluie fine mais battante, les PLIZEURS n’hésitèrent pas à tenter une nouvelle traversée par le bac, leur diplôme du BAC en poche en guise de billet. Mais ils subirent un nouvel échec, le capitaine ne les ayant visiblement pas à la bonne. Le marin au cœur dur ne se laissa même pas attendrir par les supplications de sa fille et de certains passagers. Il se contenta d’un guttural « non ».

Mais une muse guidait les pas de nos PLIZEURS, qui ont profité de cette miraculeuse inspiration pour détourner du mobilier urbain, en jouant par exemple à QPUC sur les poubelles !

Je vous l’accorde, après tout ça, un remontant s’imposait. Direction le bar « Chez Raymond » qui est très sympa (le bar ou Raymond ou les deux, je ne sais plus…) aux dires de Jack. L’appel du zinc fut le plus fort pour Marc qui n’hésita pas à se grimer en grand-mère pour nettoyer le fameux zinc façon Pliz grâce à une magistrale glissade sur le ventre !

Pour fêter l’évènement et l’exploit de Marc, une soirée cocktail fut organisée au pied (et coude) levé. À cette occasion, Fix souhaita le plus sérieusement du monde une très bonne année 2011 à toutes les personnes présentes, sans recevoir l’accueil escompté. Un nouveau bide pour notre incompris Fix, qui « fait des défis sans même le vouloir » avance Jack. C’est ça aussi être PLIZEUR dans l’âme !

Avant de repartir vers leur campement, les PLIZEURS échangèrent quelques mots et slogans avec les tenanciers. Lançant à la cantonade, sans pour autant faire tiquer les intéressés, des « Venez comme vous êtes » ou « Plus blanc que blanc ». Un lieu de convivialité tel que  « Chez Raymond » est l’endroit propice aux confidences. Un fait à côté duquel les PLIZEURS ne pouvaient pas passer ! Et c’est avec 2 souvenirs en poche qu’ils quittèrent les lieux passablement éméchés sobres et frais comme des gardons frétillants.

Avec 8 défis réalisés, les PLIZEURS entamèrent leur longue marche de retour vers le camp, sans oublier de faire une halte salvatrice pour se sustenter. Ils commandèrent plusieurs pizzas, mais malgré un appétit gargantuesque ne réussirent à aller au bout de leurs victuailles. Que faire de cette pizza supplémentaire ? « On a décidé de la livrer à une famille qui l’a acceptée de bon cœur » se souvient Jack, ému par cette rencontre.

C’est sur cette note positive qu’ils ont achevé leur journée, battant tous les records du PLIZ, malgré la pluie !

Une fois n’est pas coutume, les PLIZEURS n’auront pas le mot de la fin aujourd’hui, car il s’agit là de mon dernier jour après jour de la saison ! C’est une larme à l’œil que je vous abandonne aux bons soins de notre Célestine internationale qui reprend les rênes de ce debrief quotidien dès demain. Mais, mes amis, ça n’est qu’un au revoir ! Je vous dis donc à l’année prochaine et bonne fin de PLIZ à tous. LMG forever !

Défis : 3, 27, 29, 34, 66, 89, 98, 127, 68 = 1290,50 €

Le tableau des défis
Une idée de défi ? N’hésitez plus !

Déjà une vidéo des Plizeurs ! Par Ici

Les jours se suivent mais ne se ressemblent pas pour nos PLIZEURS. Et une commune en France a la joie de les accueillir cette année, j’ai nommé les Sables-d’Olonne. Ils en ont de la chance ces Sablais ! Grâce aux nombreux défis qu’ils y ont réalisés (et bien sûr à leur simple présence en ces lieux), les PLIZEURS ont fait de cette commune balnéaire THE place to be de l’été 2011 !

Une fois n’est pas coutume, les PLIZEURS se sont levés tard. « On était fatigués par la journée d’hier » se justifie Marc. Et on les comprend ! Souvenez-vous (ou allez lire pour ceux qui ne l’auraient pas fait) du Jour après jour d’hier… Bref, la journée a commencé par un brin de toilette. Car non, les PLIZEURS ne négligent pas leur hygiène. Je tiens à faire taire les rumeurs sur ce point immédiatement. Marc nous relate d’ailleurs cette expédition aux aspects d’aventure façon agent secret… : « Nous nous sommes furtivement infiltrés (dans un camping, je précise…) pour prendre une douche ». Tout propres qu’ils étaient, les voilà partis pour le premier défi de la journée.

Et c’est Fix qui s’y colle. Il allait enfin avoir l’opportunité de laisser parler la femme qui est en lui ! Direction un salon de manucure où il a opté pour des couleurs chatoyantes, façon arc-en-ciel (après tout chacun ses goûts…). L’employée lui a généreusement – et gratuitement – appliqué un vernis de couleur différente sur chaque ongle. Notre Fix était tout en beauté et pas peu fier de sa nouvelle apparence. Il a d’ailleurs avoué (mais ça reste entre nous…) « Pourquoi il n’y a que les filles qui ont le droit d’en mettre ? ». Ça se passe de commentaires.

Avant de partir direction la plage, Jack qui patientait à l’extérieur du salon, voulut faire preuve de sens civique et écologique, en jetant sa bouteille en verre dans la poubelle (ce qui est bien normal vous l’avouerez). Geste que nous aurions pu saluer, si celui-ci ne fit pas preuve d’une navrante maladresse, qui conduit immanquablement à la chute de ladite bouteille, qui se brisa au sol. Certes, il n’y avait aucun défi là-dessous, mais ce type de faits marquants mérite d’être évoqué ici. Après tout, les fans du PLIZ ont bien droit aux croustillantes anecdotes des coulisses !

Ceci étant dit, retrouvons les KD et les IB sur la plage. Deux défis périlleux et sportifs sont en vue… Le premier, un 100 mètres brouette les mains mouillées, contre 6 autres challengers. Résultat, Fix trop obnubilé par son vernis à ongles ne put se concentrer suffisamment, entraînant par là même la défaite des KD… Marc préfère y voir une certaine inculture de son camarade « il voulait enlever le vernis avec l’eau de mer, mais il n’a pas compris qu’il faut du dissolvant pour que ça parte ». Je ne préfère pas relever ce type de moquerie mesquine et préfère attirer votre attention sur l’étonnante culture de Marc en matière de vernis à ongles Chacun se fera son opinion…

Impossible de rester sur une défaite ! Les KD lancèrent un nouveau challenge aux 6 participants : un 100 mètres roulades. Une folle course menée durant sa première partie par un concurrent gymnaste, vite rattrapé par Fix. Mais ce dernier s’essouffla, laissant Jack prendre la tête et franchir la ligne en grand vainqueur. Une ola pour Jack !!!!!

Preuve (s’il en fallait une) de leur abnégation, les KD présentaient de multiples blessures dans le dos dues au sable. On ne rit pas, le sable ça peut faire très mal si on l’embête…

Quand on commence une journée en la plaçant sous le signe de l’hygiène, on ne peut la continuer autrement. Jack l’a bien compris. Il décida donc de se brosser les dents à de multiples reprises et dans divers endroits, dont je ne citerai que les plus emblématiques : une fontaine, dans un bar ou dans un bus. Un nouveau défi rempli ! « J’ai les dents bien blanches maintenant » raconte Jack. Un bel exemple à suivre les enfants, car l’hygiène bucco-dentaire c’est sacré, sinon c’est tout à la soupe… Et celui qui me fera manger de la soupe il n’est pas né !

Après tant d’émotions, il leur fallait bien un petit remontant. « Nous avons été pris d’une folle envie de lait-fraise » explique Marc. Les voilà donc partis à la recherche d’un authentique pub. Le premier barman, visiblement un pochtron pure souche, refusa de les servir tout net. « C’est laid » se désole Jack avec raison. Fix en profita pour sauter illico sur le râble de son frère : « Jack, il faut toujours qu’il ramène sa fraise ». Mais la réussite ne se fit pas attendre longtemps. Dès le second pub, deux laits-fraises étaient sur le zinc (et un diabolo kiwi pour Jack et c’est même pas un défi…). Requinqué, Marc ressentit l’appel de la vague. Une planche (découpée dans une plaque) sous le bras, direction la fontaine pour une petite séance de surf. Je sais, vous êtes admiratifs, et moi aussi ! Mais vous le serez encore plus quand vous aurez appris que du sang a coulé pendant cette épreuve. Celui de notre valeureux Marc, qui s’est entaillé (fait une petite coupure…) au bras avec la planche.

Un retour au camp de base était donc incontournable. Aussi à cause des bus qui terminent tôt leur service… « et parce que les KD ne veulent pas marcher » cafte Marc, alors menacé d’un verre d’eau par les deux autres quelque peu fâchés d’avoir été ainsi démasqués. Rassurez-vous, il ne peut s’agir que de calomnies pures, d’un reste de rivalité entre équipes, les PLIZEURS, quels qu’ils soient n’ont jamais la flemme de rien !

D’ailleurs, ils n’ont pas hésité à se rendre au restaurant pour prendre leur repas du soir. Où Jack a commandé un repas sans sel, mais l’a trouvé trop salé…

Le jour après jour ne vous suffit pas ? Feuilletez Ouest France, il y aura peut-être un article sur les PLIZEURS aujourd’hui ou demain ! Une reconnaissance médiatique amplement méritée…

Défis : 114, 7, 18, 30, 74, 105, 49 = 1050,50 €

Le tableau des défis
Une idée de défi ? N’hésitez plus !

Chose promise chose due, avant d’entamer le jour après jour d’hier, un petit retour en arrière sur la journée précédente s’impose. Souvenez-vous, je n’avais pu vous narrer dans les détails les aventures des KD et des IB, pour cause de non-transmission de l’information. Erreur désormais réparée puisque j’ai eu droit hier soir à un briefing dans les règles de l’art. Je ne vous laisse pas piaffer d’impatience plus longtemps…

Nous avions donc quitté les KD, prêts à se coucher sous leur tente à Issoudun. Dès le réveil (la rumeur dit que Jack a ronflé, mais aucune preuve ne vient l’étayer je vous rassure tout de suite), Jack et Fix étaient remontés comme des coucous suisses. À bloc je vous dis ! À peine le temps de lever le pouce, qu’une voiture s’arrête (la célébrité de nos PLIZEURS aura certainement joué en leur faveur), conduite par Quentin. Notre jeune ami a été la victime bien malgré lui du défi : le sketch de l’autostoppeur de Coluche. Qui d’autre que Jack, le gai luron de la bande, pouvait relever ce défi. Il a donc enchaîné sans se démonter les réflexions désobligeantes : ta musique est pourrie, ta caisse c’est de la m… et j’en passe. La vidéo vous montrera ce que je n’ose coucher ici sur « papier », la décence m’interdisant de répéter ce qui s’est dit dans cette voiture… Après un tel moment d’humour et quelques minutes d’attente en bord de route, les KD ont trouvé une seconde âme charitable pour les rapprocher de leur point-étape (et de retrouvailles avec Marc), à savoir les Sables-d’Olonne. Je ne résiste d’ailleurs pas à l’envie de vous raconter une petite anecdote gastronomico-stopesque et croustillante vécue par notre Fix international ! Le pauvre n’a pas eu le temps de se ravitailler, car à chaque fois qu’il portait à sa bouche un biscuit (dont la marque rappelle les hommes couronnés dont rêvent toutes les petites filles), une voiture s’arrêtait. Notre pauvre Fix a donc dû braver sa faim, durant tout le trajet.

Mais sa force et son courage lui ont à nouveau permis de se distinguer dans cette seconde voiture, lorsqu’il échangea sa personnalité avec Jack, pour endosser le costume d’un « brillant journaliste au sens de l’humour aiguisé » selon le susnommé Jack, qui rajoute d’ailleurs dans un nouvel accès de jalousie fraternelle (notez que ce phénomène a une forte tendance à se répéter au fil des jours…) « j’ai dû prendre le rôle d’un petit blaireau ». Mettons ce comportement sur le compte de la pression subie par notre PLIZEUR historique.

Les KD ont profité d’une ballade à proximité de boîtes aux lettres (oui ce sont des monuments de l’architecture moderne trop peu admirés par nos concitoyens), pour coller 5 étiquettes humoristiques. Patience, vous en connaîtrez la teneur dans la vidéo !

« On était trop chanceux avec le stop ce jour-là. Avec Fix, on a décidé de pimenter un peu le jeu en faisant de l’autostop dans 5 endroits absurdes »… Drôle d’idée, surtout dans une impasse ou une rue barrée… Quoi, c’était un nouveau défi ? Décidément, rien ne peut les arrêter !!

Les KD ne sont pas les seuls en course. Marc, unique représentant actuel des IB n’a pas chômé. Un questionnaire sur Miyazaki posé à une fan inconditionnelle (80 bonnes réponses sur 100), une poule coursée et attrapée, 400 km pour aller pousser sa propre grand-mère dans les orties (petit-fils indigne va !) et 3 paniers marqués les yeux bandés au basket (au bout de 41 essais tout de même – ha bravo la caution sportive du PLIZ), plus tard, Marc prit la route. Je vous rassure tout de suite, aucune poule ni grand-mère n’ont été blessées dans ces défis ! Objectif : rejoindre les KD qui pour leur part se confectionnaient un festin de rois avec les cadeaux offerts par Dame Nature (prune, maïs et pommes de terre) « c’était un vrai régal » se souvient Jack la bave aux lèvres. Appétissant !

Un dernier trajet en autostop plus tard, assuré par le généreux David (vous savez l’homme mystérieux d’hier…) et son camion géant, les KD ont rejoint l’IB aux Sables-d’Olonne. Les 4 compères ont fêté dignement ces retrouvailles avec une boisson à base de céréales… (et modération cela va de soi).

Nous voilà donc arrivés au jour 3. Retard d’hier rattrapé, mission accomplie ! Au petit matin, à l’heure où le soleil étend encore des rayons rosés (enfin presque…) Jack partit en quête de nourriture.  Peut-être ne le saviez-vous pas, mais notre Jacko est un peu difficile côté nourriture et n’hésite pas à harceler une pauvre mais compréhensive boulangère pour obtenir une baguette sans croûtons. « Ben quoi, c’est pas bon les croûtons ». Mouais… La gentille commerçante a tout de même accepté, malgré cette excuse quelque peu bancale. De retour au camp de base, les PLIZEURS durent tirer au sort leur déjeuner. La main du destin : Marc. Et ce sont un Fix et un Jack angoissés, les doigts croisés, qui scandent ensemble : « pas le dîner, pas le dîner… ». La sanction ne se fait pas attendre : « le dîner ». Jack raconte avec émotion « on n’a pas hésité : pastis, soupe, concombre, camembert, pâté et pain ». Un peu dur à 8 heures du matin, mais un PLIZEUR se doit de faire preuve d’abnégation !

Ragaillardis par un tel repas, les PLIZEURS partent à la conquête des défis 85 à 88, grâce à l’œil de lynx de Marc qui peut repérer un truc rouge à plusieurs mètres de distance « mais pas un truc vert devant son nez » selon les dires des KD. Il faut savoir que le représentant des IB avait revêtu son uniforme du PLIZ 2011 : bandana, ananas et chaussures dépareillées. Il a fait sensation dans les rues c’est moi qui vous le dit !

12h00 : heure du déjeuner. La main du destin renouvelle son exploit matinal. Un nouveau dîner doit donc être ingurgité : soupe, crêpes, salade et bolée de cidre. C’est le ventre lourd qu’ils décidèrent une halte sur la plage. Ainsi posés, la thématique de l’après-midi chantant s’imposa à eux. Jack profita de l’occasion pour faire entendre son doux filet de voix à des bronzeurs en quête de sommeil. Une berceuse accueillie avec joie, un plagiste a même applaudi « la belle initiative ». Toujours en chantant, les PLIZEURS ont abordé plus de 30 personnes en 3 heures de temps. Encore une performance PLIZESQUE !! Motivé par tant de succès, Jack décide de repartir dans une boulangerie, à la recherche d’un demi-croissant, mais subit deux échecs. Fix a lui aussi fait les frais de cette courte mais intense période de poisse et rata son bac de justesse, malgré la présentation de son diplôme du BAC au préposé. Alors que Marc, décidément sous une bonne étoile, fait preuve de son intellect, car non il n’est pas seulement les muscles du PLIZ, il a aussi une tête, en faisant les devoirs d’une fillette. Après correction, Marc valide brillamment son niveau 4ème. Bravo ! Reboosté, Marc dit à Jack « je vais te le trouver ton demi-croissant ». « Non, impossible laisse tomber » lui répond Jack. Que nenni ! Marc ressort de la boulangerie, triomphant, brandissant fièrement sa moitié de croissant. Laquelle tombait d’ailleurs à pic pour l’heure du goûter en version petit-déj.

Un rassemblement se tenait hier dans les Sables-d’Olonne. Ni une ni deux, les PLIZEURS étaient sur place. Il s’agissait de la Course des garçons de café, durant laquelle Fix a fait la claque, mais n’a pas été vraiment suivi par un public peut-être (sûrement) groggy par un soleil et une chaleur trop pesants. Une série de bides vite effacée par la chute (pitoyable) de Robin (mais si le chéri de Batman) qui participait à la course. Une anecdote que Fix s’est empressé de raconter à ses collègues… en chantant. Bon après tant d’émotions, les PLIZEURS ne pensaient qu’à une chose : la sieste. Mais encore fallait-il trouver le bon emplacement pour monter la tente : sur un manège, devant un canon, dans la rue de l’Enfer (plus petite rue d’Europe dixit Jack – la touche culturelle et touristique du jour)… à la sortie de la messe. Occasion inespérée pour Marc, qui avait déjà revêtu depuis le matin même des habits faisant penser à ceux d’un mendiant. Il en a donc profité pour faire la manche (sans aucun succès il faut bien le dire).

Autre fait culturel intéressant (ou pas…), les Sables-d’Olonne grouillent de sosies, de Hugues Aufray à Raymond Domenech. Tous immortalisés par nos PLIZEURS, ça va de soi.

Une journée bien remplie qui se termine par un déjeuner (du midi mais le soir) dans un établissement servant une pizza aux tomates cerises, dégustée par Marc. Jack quant à lui ne savait que choisir. « Surprenez-moi » lança-t-il au serveur, qui lui ramena un « délicieux » magret de canard aux cerises. Pour apaiser les esprits et les corps perclus de courbatures, Marc décide de raconter à ses camarades une belle histoire. De quoi faire de beaux rêves en attendant le debrief de demain.

Je laisse d’ailleurs le mot de la fin à Marc, qui choisit un philosophique « Dis-moi où tu as mal, je te dirai qui tu es ». À méditer…

Défis : 104, 85, 86, 87, 88, 81, 59, 9, 71, 92, 94, 10, 65, 62, 134 = 865,5 €

Le tableau des défis
Une idée de défi ? N’hésitez plus !

Ce deuxième jour a été faste pour nos 3 PLIZEURS actuellement en course. J’en profite d’ailleurs pour passer une pensée affectueuse, une tape amicale dans le dos, un bisou guérisseur sur le front, un grand bol d’énergie et un vœu de bon rétablissement à notre indispensable et irremplaçable Gauthier !

Donc pour revenir à nos moutons, ce deuxième jour de course a été faste. Un peu trop peut-être, enfin du moins de mon point de vue… Comment voulez-vous que je puisse faire un résumé digne de ce nom, que dis-je un carnet de route étoffé et exhaustif, en me contentant de deux pour le moins laconiques textos. Je vous le demande, que puis-je faire avec une source aussi peu abondante ? Je m’excuse donc par avance auprès de vous, chers amateurs et fans inconditionnels du PLIZ, pour ce deuxième volet du Jour après jour qui s’annonce quelque peu succinct…

Tout a donc commencé hier, à 21h54 et 34 secondes précisément. J’attendais patiemment près de mon téléphone l’appel de nos trois héros pour le debrief du jour, quand le téléphone se mit à vibrer. Enfin me dis-je, toute excitée à l’idée d’avoir les nouvelles fraîches du jour. Mais la vibration s’arrêta tout net. « Tiens, Jack me biperait-il ? » doutais-je en mon for intérieur. Non… Un texto. Étrange ! Ni une ni deux je prends connaissance de la précieuse missive. Pour faire court, le message faisait état d’une suractivité stopesque et défiesque doublée d’une heureuse rencontre avec un personnage qui pour l’heure est aussi mystérieux pour vous que pour moi, et sur lequel, je l’espère, nous en apprendrons plus dans les jours qui viennent… Donc non, les PLIZEURS n’ont matériellement pas eu le temps de me faire leur résumé quotidien hier, mais leur excuse est imparable : ils étaient sur la brèche. Comme ils le disent eux-mêmes « PLIZ toujours » (les scouts ont bassement plagié ce leitmotiv vous l’aurez remarqué). Remplir des défis pour la bonne cause est une seconde nature chez eux, que dis-je une priorité absolue.

Et ce ne sont pas des paroles en l’air ! 9 défis réalisés dans la seule journée d’hier. Des centaines que dis-je des milliers de kilomètres avalés pour rejoindre les Sables-d’Olonne où les Kanibal Donuts et les InKarcérals BroZers ne font pour l’instant qu’un. Une équipe fusionnée, un bel esprit sportif, surpasser ses différences et ses rivalités, laisser de côté son égo, tendre la main à son voisin, pour atteindre l’essence, que dis-je la quintessence intrinsèque du PLIZ. C’est tout simplement beau ! Un soutien aussi important pour l’esseulé Marc, qui fait contre mauvaise fortune bon cœur en attendant le possible retour de son camarade et non moins coéquipier et relève les défis les uns après les autres sans s’essouffler : 4 rien qu’hier (123, 126, 132, 83). Ce PLIZ 2011 s’annonce fort en rebondissements et en exploits en tout genre. Bien entendu et cela va sans dire, les fils rouges de l’édition sont toujours en cours !

Pour l’heure je ne peux vous en dire plus, car je ne dispose pas de plus d’information. Mais ce petit côté mystérieux a du bon vous ne trouvez pas ? Cela laisse libre cours à notre imagination. Imaginez ces trois valeureux guerriers, vêtus aux couleurs de LMG, la flamme de la motivation dans les yeux, les muscles tendus, le pouce au vent, l’oreille à l’affût et le nez aux aguets de la moindre opportunité de défis. Tels des cochons truffiers, ils débusquent l’occasion même enfouie sous des mètres de terre. Ils l’attrapent au vol pour transformer l’essai. Leur unique moteur : réaliser des défis. Ce sont des machines, des guerriers, des athlètes, des héros… en un mot des PLIZEURS !

Défis : 61, 79, 99, 118, 67, 123, 126, 132, 83 = 590,5 €

Le tableau des défis
Une idée de défi ? N’hésitez plus !

PLIZ 2011 enfin !!!!!

Un an d’attente. Un an de frustration et d’impatience. Un an sans… le PLIZ ! Je sais, je sais, cette trop longue attente était insupportable. Je suis comme vous, je n’en pouvais plus. Ça faisait des mois que je tournais en rond comme un lion en cage, comptant les jours… Mais tout ça c’est bien fini ! Les Kanibal Donuts et les InKarcérals BroZers ont pris la route. Et c’est avec une excitation toute particulière que je prends ma plume en forme d’ordinateur, pour vous narrer leurs premières aventures.

Car oui, le PLIZ c’est avant tout une aventure. Où risques et dangers sont présents à chaque virage. Et notre ô combien valeureux et motivé Gauthier sait de quoi je parle. Car, oui, ce PLIZ 2011 commence sous des cieux peu cléments pour une moitié des InKarcérals BroZers, qui se retrouvent pour l’heure amputés de leur irremplaçable Gauthier. Après avoir résisté des heures, fait preuve d’un courage hors-norme qui figurera, et ça ne fait nul doute, dans les annales du PLIZ, Gauthier dut se résoudre, sur les conseils appuyés et avisés d’un membre éminent du corps médical, à retourner au point de départ, pour un repos forcé. Le cœur lourd, les InKarcérals BroZers durent se séparer hier, mais avec l’espoir de se retrouver demain, quand Gauthier aura repris du poil de la bête. Et pour accélérer encore sa guérison, joignez-vous à moi (un gentil commentaire ira droit au cœur de l’intéressé) pour lui souhaiter un bon et prompt rétablissement.

Mais, avant que la situation ne se gâte, les PLIZEURS ont eu le temps de relever des défis. Car ne l’oublions pas, ils sont là pour ça ! Et ça commençait fort avec la caution sportive du PLIZ, pour les quelques rares qui n’auraient pas visionné le brillant reportage de notre journaliste d’investigation Olivier, je parle bien de Marc. Ce dernier, adepte du travail bien fait et de la minutie, a choisi de s’échauffer avant la première levée de pouce en taillant 2 m² d’herbe aux ciseaux, histoire d’entretenir le QG de Longjumeau. Le Guinness Book est d’ailleurs sur les dents, car, si je ne m’abuse, un record mondial pourrait bien se jouer ici… Il n’aura fallu que 45 minutes à Marc pour relever ce tout premier défi 2011 haut la main !

La déception des Kanibal Donuts est grande de n’avoir pu ouvrir le bal cette année. Et Jack de nous faire part de sa peine avec un jeu de mot dont lui seul a le secret et l’inspiration : « Il nous a coupé l’herbe sous le pied ».

Le jardinage c’est bien beau, mais les PLIZEURS avaient du pain sur la planche : préparer leur paquetage. Petit message à Strider, lanceur du défi N°80 : comme tu auras pu le noter au cours du reportage d’Olivier, l’indispensable pour un PLIZEUR pèse lourd… N’emporter que 3 kilos quand le sac contient la collection complète des Largo Winch, c’est mission impossible.

Il s’agit donc d’un premier échec, mais pas question de renoncer pour autant. Remotivés, regonflés à bloc, Jack, Fix, Marc et Gauthier partirent pour un dernier échauffement au stade de Longjumeau. Première étape, un peu de foot. Seul un PLIZEUR, j’ai nommé Fix, s’est distingué dans cette épreuve qui, en seulement 16 essais, a atteint la barre transversale depuis le centre du terrain. Déjà deux exploits dans ce PLIZ 2011 ! Les InKarcérals BroZers n’allaient pas rester sur cet échec sportif. Et décidèrent de participer à un événement sportif, en interceptant le ballon en plein match de rugby, grâce aux conseils avisés des coachs. Mais le monde de l’ovalie a ses règles : qui a le ballon sur le terrain va immanquablement se faire poursuivre par les autres joueurs qui veulent récupérer « le précieux ». Les InKarcérals BroZers n’ont pas échappé à la règle et ont vaillamment couru pour leur salut.

Après une nuit de sommeil bien mérité, Kanibal Donuts et InKarcérals BroZers relevèrent moults et moults défis. Le footballeur de l’étape alias Fix s’est encore distingué en enchaînant 200 jongles à la perfection. Jack de commenter « il est légèrement monomaniaque. On espère qu’il va étendre son domaine de compétence ». Vous aussi vous sentez un peu de jalousie fraternelle ?

Pendant ce temps, Marc s’adonnait à un exercice tout aussi complexe : le panier piano. Seul devant sa caméra, dans un état de concentration extrême digne d’un Bodhisattva en pleine illumination, Marc a relevé le défi haut la main. Depuis, pour fêter cette nouvelle réussite, il transporte un ananas avec lui… Étrange ? Peut-être que BG’S pourrait nous expliquer…

Entre Longjumeau et Bourges, première étape du périple, les PLIZEURS ont déjà relevé 20 nouvelles plaques d’immatriculation.

Côté fil rouge, tout se passe comme sur des roulettes. Des hommages larmoyants et émus sont rendus aux Espagnols lors de la dégustation quotidienne de concombre, Marc ne se rase plus et ne lâche plus son bandana. Bien sûr, les PLIZEURS espèrent vivement perdre du poids. Les Kanibal Donuts ont d’ailleurs débuté leur fameux régime cochonnailles, sur le point de surpasser le Dukan… Bien sûr, avec le départ involontaire de Gauthier, ça fait déjà 77 kg de moins, mais pour une fois, on espère vivement qu’ils vont les reprendre !

Le défi du verre d’eau fait des émules, au grand dam de Marc (désormais seul pour quelques jours)…

Mais laissons le mot de la fin aux Kanibal Donuts, qui ont planté la tente à Issoudun et s’apprêtent à se coucher après que Jack a raconté une belle histoire à Fix. Ce dernier conclut cette journée avec un énigmatique « j’aime les figues ». Comprenne qui pourra…

Défis remplis : 26, 33, 55, 82, 110, 106, 107, 121 = 285,50 €

Le tableau des défis
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