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Difficile d’imaginer que le PLIZ se termine sur un post 13. Un chiffre qui portera pourtant bonheur aux KD. En effet, le pèlerinage sort bankable avec un budget record de 2018, 43 €. « On est très fiers de notre opération » observe Jack. Un bilan des plus satisfaisants auquel s’ajoute la joie d’avoir motivé de nouvelles troupes au projet. « On a une flopée de candidatures pour l’an prochain, le PLIZ a fait des émules auprès des internautes ! on remercie dans la foulée tous les lanceurs sans qui tout cela n’aurait pas pu exister ! » (Le Prèz a pris des leçons de modestie…)
Vice et son Président viennent juste de finir leur derniers rushes pour le défi Mozinor. De belles images et de purs délires, qu’ils nous feront prochainement partager. Ne reste plus qu’à « peigner les perruques », selon le jargon professionnel, le montage donc, viendra dans les semaines à venir… En attendant Jack résume les évènements de la journée.

« Ce matin, on s’est levés tranquilles, apéro, petit barbecue à 13 heures. Puis à 15 heures, 15 h 30 du matin, on s’est remis en chemin pour rallier Thiais. Sur la route, on a croisé une plaque du 48 (DEFI). Pour un euro, tu noteras que Fix a pris des risques considérables : il a prétexté un malaise vagal pour s’arrêter sur la bande d’arrêt d’urgence de l’autoroute devant des automobilistes sciés. Puis on a trouvé un billard pour parodier le clip de Michael Jackson (DEFI) devant des boulistes étonnés. Forts de cette expérience rupestre, on est allés dans un magasins de sapes féminines dans lequel mon Vice a craqué sur une nuisette Minnie (DEFI). Le vendeur lui a même conseillé très sérieusement de porter un string avec sa lingerie et Fix a poursuivi son essayage.”

“On s’est ensuite mis en quête d’un autre lieu de tournage pour Mozinor (DEFI), on a choisi les cités. On a ensuite échangé quelques balles avec un tennisman suisse résidant en France (DEFI). Fix avait un poulpe dans son sac et un tablier de poissonnier, on ne sait pas pourquoi d’ailleurs, alors on s’est dirigés vers le cinéma de Palaiseau. Et dans l’poulpe, y a pas les os… Fix a mis sa coiffe (DEFI) devant des caissiers médusés. Tu me croiras ou pas, le poulpe est totalement adapté à la tête de Fix, et ça lui allait bien. Il a indiqué nonchalamment les places à des cinéphiles hystériques. Ce défi a montré qu’on avait une organisation tentaculaire. On a terminé sur une saynète de Mozinor (DEFI). Quant au poulpe, il est au menu d’un prochain soir, mitonné avec amour par mon pti bout de femme ! »

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Deux semaines de PLIZ, deux cuites, et toujours pas de vacances dans le lorgnon de ma porte. C’est là que j’me dis que je vieillis, j’ai qu’une envie, me pieuter, d’ailleurs je suis happée par le matelas, je sens déjà les lattes de mon plancher, Monsieur Nedelec, comment allez vous ? Ah non, j’suis descendue trop bas. En plus, mon dernier neurone vient de s’éteindre comme une étoile déchue, mon café refroidi sur la table, résigné. Peut-être que c’est juste qu’il se fait tard. En effet, Jack m’a bien averti par texto, « Attend que je finisse ma nuit dans ce temple du meuble suédois, je te bip »… Brrrrrrrr…. ah. C’est lui. « Halloween? » . « Mffff! » (moi) « C’est ton Pote Iron ». « Ah » (moi).
Je vous restitue ensuite ce que mes oreilles engourdies ont absorbé, sans filtre.
« Donc mardi, comme tu sais, on a glandé… enfin je veux dire préparé le champ de bataille… Mercredi, le réveil a été mis à 4 h 40, ce qui est un record Intra-Pliz, Damien pourra confirmer. C’était le troisième défi à faire tôt le matin, entre le boulanger, l’interview et là le Cocorico (DEFI). A l’ouverture du café, Fx est monté en effet à deux reprises sur la table à 15 minutes d’intervalle pour faire le coq. Puis on a fait l’ouverture de Notre-Dame de Paris pour aller prendre les vitraux de la Cène et tirer le portrait des apôtres. On n’a pas les noms mais c’est difficilement contestable, y a Fix dessus… On en a profité pour marquer un but sur le parvis, à la Pauleta, en mimant l’aigle des Açores devant des Chinois ébahis. »

« C’est quoi cette histoire de pelles ?
« Archipel Célestine »
« Ah. »

« Ensuite, direction les Champs-Elysées. On est passés par le huitième, on a aidé pour un déménagement, j’ai porté des cartons et des fauteuils, et c’était pas lourd du tout. Après Fixou a promené son chien Pilou devant l’Arc de Triomphe (DEFI), devant des Japonais médusés. Pilou a la particularité d’être en peluche. Fix a bien essayé de lui lancer des objets pour qu’il les rapporte, visiblement il n’était pas en forme (Pilou, Ndlr), c’est assez visuel. Moi pour ne pas être en reste, j’ai repassé une série de vêtements devant des Coréens soufflés. Pas les soufflés coréens Célestine!

« J’ai perdu le fil là. »
« Y a pas de fils dans les soufflets !»
« Ah. »

«Après on a fait le Parc de Sceaux, et pratiqué des activités à caractère ludique dans la fontaine. Pour la fable, personne n’a daigné se baigner avec des Donuts. Quannnnnnnd tout à coup, une meuf in…. Je suis à court, je poursuis. Donc on en était à Tarzan et Cheetah (DEFI), très ethnique l’orthographe tu remarqueras.

« T’es sûr de que ça s’écrit avec deux « e » et un « h »?
« Oh guenon ! »
« Ok, vas-y pour l’ethnique, moi tu sais l’orthographe… »

« On était en pagne, parce que le pagne ça vous gagne, c’est pas des lasagnes, car j’ai fait hypokhâgne, et Fix rajoute que c’était une pagne d’inspiration . J’ai donné des bananes à Cheetah et fait le cri de Tarzan devant des Français amusés. Je remercie Roro pour le défi, c’était simiesque !  Tout ça nous a donné grand faim, on a dégusté un poulet braisé avec des bananes plantains, devant des Camerounais cuisinés. »

Jeudi donc, Fix, a enfilé sa bombe pour faire un tour de sulky (DEFI) chez un entraîneur de trotteurs. « Et on s’est pas levés trop tard pour y aller ! On a rencontré Julien Rosenzweig, c’est le trésorier du syndicat national des entraîneurs de trotteurs. Tout s’est déroulé au domaine de Grosbois à Boissy St Leger, un immense domaine avec plein de trotteurs en fonte et des pistes à chevaux. C’est le Paradis du cheval à sulky. Là, Fix a monté Mutant Démi. Puis on a dispensé une initiation à la Wii-Fit à des personnes âgées en maison de retraite (DEFI), à l’Ermitage, et ils m’ont tous battu en nage. J’étais trop vieux de 10 ans, c’était un bon lien intergénérationnel. Faudra remercier Béatrice, l’organisatrice, qui nous a laissés parler de notre projet aux gens! »

« C’est noté. Pas de Wii-Fit pour ton anniversaire »

« De là, Fix a ingéré un poulpe. Non, marque pas je déconne. Donc, non, on s’est dit, pourquoi pas faire un petit tennis, mais en cherchant un Suisse résidant en France!

« C’est un défi ça ? »
« Non. C’était surtout un bon moyen de justifier notre moment détente ! »

« Tout à coup, on est partis chez un grand pro de l’ameublement suédois, pour se faire des pâtes et tester les tables de salle à manger au rayon Cuisine. Rien n’avait l’air d’être branché, heureusement qu’on avait nos pâtes et notre bouteille d’eau ! On a fait mine de cuisiner et manger (DEFI), arrête de te gratter le bloc Fix ! En parlant de Fix, il avait sommeil, alors il s’est allongé sur un lit et on a attendu la fermeture (DEFI). Un vigile et deux vendeurs se sont pointés pour le déloger, Fix a poussé le vice jusqu’à dire « Encore 5 minutes s’il vous plaît ! ». On a été gentiment raccompagnés vers la sortie du personnel, car il se faisait tard ! Là on en est presque à 2.000 euros de défis, mieux que l’édition précédente, sachant qu’on n’est que deux à le faire, je ne peux que nous en féliciter ! » “On peut aussi remercier les lanceurs, espèce de narcissique !” crie Fix d’une voix étouffée… par un poulpe.

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C’est donc, si je relis bien mes notes, sur une aire de jeux pour marmots que l’équipe des Kanibal Donuts ont planté hier soir leur campement de fortune.

Jack, de retour dans ses appartements de Longjumeau, me conte tout cela tout à trac, sans avoir une réelle pleine conscience du non-sens chronologique qu’il met dans son histoire, par moment. Derrière la patate chaude, la fatigue se fait ressentir.

« Ce matin, on s’est fait prendre en stop par une voiture. On a dormi sur l’aire de jeux, on est venu nous demander un joint pour la deuxième fois en 24 heures. On est vite répertoriés comme toxicos quand on est un peu campeur, et nous nous y refusons. Quand TOUT A COUP, on s’est réveillés à JAUNAY-CLAN, près du Futuroscope. On est partis sur une nationale qui est en fait une départementale pour faire du stop… Là on a été pris par Mario, un footeux Malgache qui nous a avancés à la sortie de Châtellerault. Après avoir mimé le PLIZ (DEFI), il nous dépose dans un bled dont je ne sais plus le nom. On allait décrocher, puis on a acheté des sandwichs, parce que voilà, au moins 1 heure, une heure trente d’attente tu comprends, le pire qu’on a eu.

Un signe du ciel en la personne de Bernard, plaque du 91 qui s’est arrêté. Il allait à Athis-Mons, mais voulait faire un crochet à Tours pour voir sa mère, quatre-vingt dix-neuf ans et huit mois, lui-même avait de la bouteille. Il nous a déposés dans un centre commercial, on a « flunché » en attendant qu’il effectue sa petite visite, ce qui nous changeait des pizzas, puis on s’est fait un Quizz Foot avec un livre qu’on a trouvé dans la galerie marchande, chaque mauvaise réponse était sanctionnée d’une baffe.

Après on a refait une étape à Vendôme, pour voir sa cousine, et là le pliz 2008 a défilé devant mes yeux. Mes plus grands exploits étaient là, devant moi. On est passé successivement devant la piscine de particuliers dans laquelle j’avais sauté frauduleusement, un yoghourt dans la bouche, puis devant le terrain sur lequel j’avais conduit la pelleteuse (séquence émotion, deux minutes de silence SVP)… Il était mal fermé…faut tout balancer… faudra chercher sur un forum internet… peut-être que ça ferme…. J’vais gratter ça… (Jack parle semble-t-il à quelqu’un d’autre).

Désolé, j’ai un problème de givrage qui s’ajoute au tien… Après il nous a déposés à Longjumeau, retour à la civilisation.  C’était devenu difficile de marcher, je me suis blessé sur le défi de la bouée-canard. Il y avait des roches pointues dans l’eau, j’ai des coupures aux pieds et aux doigts. Ah oui, tous les défis type Maïté et Lucien sont dans la boîte. Pour prolonger le bonheur, on va vous offrir deux journées bonus. Le Pliz continue les amis, on n’a pas dit notre dernier mot ! »

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21 H 41. Pouces tendus, les garçons font de l’autostop et ne semblent pas dérangés par le nombre de voitures qui s’arrêtent. En bruit de fond, les moteurs qui crissent et les pneus qui vrombissent. Ou l’inverse. Ce qui est certain, c’est qu’il pleut à verse. Mouillé jusqu’à l’os, mais gonflé à bloc, Jack se raconte « Hier soir, on a dormi chez Julien. A l’aube pluvieuse, nous sommes partis sac au dos reprendre le ferry, ce n’était pas agréable sous une pluie battante, mais pas en retraite ». Surcote de jeux de mots, je m’interromps un moment, cueillant des yeux cette phrase énigmatique sur mon cahier, puis reprends mes notes. « Sur le ferry, nous avons commandé deux chocolats chauds avec un croissant et un pain au chocolat. »

– « Un défi ? »

« Non, on avait faim. »

« On est passés saluer Adrien puis on a acheté l’Equipe, parce que le championnat de foot recommence. On a mangé un McDo, fait du stop, puis on s’est dirigés vers Angoulême pour rejoindre Nicolas, le collectionneur, celui qui détenait le fameux billet France-Brésil 1998 (DEFI). On l’a connu par le biais d’un forum internet. Le souci c’est qu’il n’était disponible qu’à 18 heures, donc on a fait les cent pas dans la gare d’Angoulême, et rebelote le McDo. Il s’est pointé en voiture avec son billet, on a pris une photo-souvenir, ensuite il nous a déposés sur la route de Poitiers ».

De là, ils se font prendre par un jeune couple et se retrouvent à Ruffec, le trou du cul du monde. Ils sont rapidement sauvés par le Dr Mamour de la radiologie, qui les a ramenés sur la sortie de Poitiers, sur la route de Tours. « Là, une mère de famille bourrée nous a traînés sur trois kilomètres. En fait, elle s’est arrêtée car elle a pris un trottoir, un virage trop court. Elle nous a déposés en zone industrielle, là où on se trouve en fait, entre Poitiers et Châtellerault. On va voir si on jette la tête dans nos lits à Paris ou si on s’enchaîne toute la nuit des vents des bagnoles. Ah oui, autre chose : avec deux couples et deux petits jeunes, on a fini le défi de Guillaume, « trouver 10 lanceurs de défi » (DÉFI), fait du stop avec 10 cartons rigolos, dont un « 10 mètres plus loin », et, contre toute attente, quelqu’un s’est arrêté. On a aussi replacé des cadavres exquis en pleine conversation avec les auto stoppés. Ça donnait des phrases telles que :

« La chasse bleu-clair débroussaille d’un air calme »

« La fête vilaine liquéfie à toute allure »

« Le commerce très grave responsabilise avec un os dans l’oreille »

« Ils ont laissé couler sans réagir, pensant très certainement avoir mal entendu. Ah-une-voiture s’arrête, je-te-laisse. BIP».

# # #

15 minutes plus tard, je rappelle FX. Ils ne dormiront finalement pas sur Paris ce soir, mais au Futuroscope, sur un terrain de jeux. « On a quand même de la chance, on a une vue imprenable sur un feu d’artifice ».

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Je rejoins donc Jack et FX sur la plage, pour une grande soirée détente et bain de minuit, le temps d’un coup de téléphone. Les hommes ont créé leur feu de camp et se préparent à faire les serpents de mer, quand 20 jeunes déboulent et se posent juste à côté. « C’est con pour le bain de minuit » interjette Jack, embarrassé.

Après la pizza donc, Président et son Vice sont partis dormir sur un catamaran (DEFI). Puis ils ont pris une douche au Cercle nautique du Verdon. « On avait rendez-vous avec Julien Pernot, tu sais, un des moniteurs du cercle qui avait eu le défi de l’ornithorynque à l’envers. Il nous a emmenés chez lui pour repérer les lieux et nous a filé les clefs de son camping-car pour le défi dîner et dormir chez quelqu’un (DEFI). Après il nous a amenés à la fête du village, la fête du phare de Richard. Et… bordel !!!! Ils font un feu dix fois plus grand que le nôtre !! (Jack sent la compétition grimper avec le groupe de jeunes d’à côté). Faut dire que le nôtre est plus écolo, on l’a fait avec trois bouts de bois et un peu d’imagination… »

Sur place, les frangins se sont fait passer pour deux journalistes (DEFI) du site internet Sud-Ouest. « A la fête du phare de Richard, nous avons revêtu nos badges de journalistes, Jack Presse et Lucien Presse, en t-shirt La Muse Gueule© (nom de l’association), et ça n’a choqué personne ! On a interviewé successivement un marchand de chichis, un marchand de pinard, une vendeuse de chiffons, et un vendeur d’huîtres et de moules, qui nous a répondu en ouvrant sa marmite pleine de mouches ! Pour les questions, on a improvisé…. Tiens, ils boivent ! (Jack lorgne du côté du groupe, un peu envieux). Y’a même un mec qui nous a glissé une confidence sur un élu du coin ! Merde, je me suis mollardé dessus avec le vent (Jack, piqué à vif par les corps bodybuildés de ses concurrents, tente de faire son homme). Donc, qu’est ce que je te disais, ah oui ! Non contents de faire les cons, on a décidé de faire encore plus les cons. Certains nous ont reconnus, on était « ceux-de-la-bouée-canard », on les a défiés au jeu de cadavre exquis (DEFI). Ça a donné des phrases bien rigolotes que nous devrons sortir pendant l’autostop… Ahhhhh, mais c’est des patriotes en plus !! Ils chantent la Marseillaise. » (Jack, écœuré d’être tombé sur des blonds).

Puis non contents de cette avalanche de succès, les frangins se sont faits passer pour des participants de la Carte aux trésors (DEFI). « Après quelques échecs, quelques-uns nous ont pris, persuadés qu’ils allaient passer sur France 3 dans les semaines à venir ! Ils nous ont emmenés jusqu’à St VIVIEN. Là on a fait du défi plus classique. On est passés devant une maison de retraite et FX a réédité sa prouesse, pas avec un cours de teckonik© cette fois mais un cours de haka néozélandais, et on peut dire qu’il y a eu quelques adeptes. Dommage pour ceux qui étaient en fauteuil roulant… »

La table du réfectoire leur a donné une idée lumineuse.

« On a demandé à reproduire la pub du Pliz (DEFI), mais FX a fait le con avec le spray et s’est lancé sur la table. Ça glissait bien, un peu trop même et il a failli se péter la gueule à l’autre bout. Le personnel était vraiment très sympa… Allez, c’est parti pour la chanson paillarde maintenant !!! » (Jack n’en pouvant plus, ordonne à FX de faire des pompes à la lueur des flammes du feu de camp, qui se meurt tout doucement).

Puis vint Nicole, assistante sociale fort gentille et seule vraie autostoppée de la journée (hors défi Carte aux trésors). « Et à ce titre, elle a eu le droit de mimer le Pliz en langage des signes. Y a une énorme branche qui menace de me taper… Elle (Nicole, pas la branche), nous a déposés à Verdon devant la caravane de Julien, on a dîné, il y avait tout ce qu’on voulait dans son camping-car ! Puis on est allés sur la plage, et on a « croqué » sur l’ODILE, un bateau qui prend l’eau et menace de couler (DEFI manger sur un bateau). Puis on s’est remis en route et on avait encore faim ! Alors on a demandé à deux caravanes de Hollandais de nous inviter à manger, ce qu’ils ont refusé dans un anglais poli. On est donc repartis, « les jambes entre les jambes », et on a pris la direction de la plage. Et tiens, c’est étrange, on avait encore faim  ! Heureusement que les Hollandais nous ont refusés, sinon on aurait mangé quatre fois ! Tiens, FX est parti défier les blonds au Haka… ce soir on va dormir dans la caravane de Julien. A l’aube de premier communiant nous filerons vers Angoulême pour des défis encore PLUS spectaculaires ! »

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