Dans ce troisième jour du PLIZ 2012, les Plizeurs se sont reproduits, appelant leur enfant Etienne. Ancien médecin sur le Tour de France, celui-ci est arrivé avec une mallette contenant beaucoup, beaucoup d’énergie. Marc et Romain avaient commencé par une grasse mat’… et les trois finissent avec une journée à 430 euros, record du PLIZ toutes éditions confondues !

Défis réussis : 4, 8, 10, 12, 15, 17, 19, 35, 65, 68, 70, 72, 86, 96, 105.

En banque virtuelle pour La Faim prend fin : 564 euros (Voir le tableau des défis à jour)

Nouveau : retrouvez les photos du PLIZ 2012. Et suivez le compte Twitter de LaMuseGueule1, on a 0,10 euro par follower !

Après une journée d’installation pas si riche que ça en défis, mais éprouvante physiquement, les Spiritual Boulets ont tenté un pari fou. Non, non, pas un défi, vous confondez tout.

“On a mis le réveil à 9 heures, et le temps de trouver comment il s’arrêtait, il a vite été 11 heures… du matin, hein, quand même” résume Marc.

Et quand ils se lèvent, c’est pour aller… squatter la douche en douce (bonne lecture Fix), au camping voisin. Puis ils achètent du saucisson (chèvre, cèpes, chorizo antillais, apparemment tout ça séparé). Et des pêches (blanches). Et ils les mangent.

Alors qu’on s’attend à une journée de touristes, le compteur s’affole. Enfin mollement d’abord.

“On a croisé un marché où on a essayé de remplacer un vendeur (défi d’Anne-Cé), mais on s’est fait envoyer dans les choux…. Sans avoir le droit de les vendre. On a quand même trouvé un cageot (un vrai) qui nous aura bien servi, et fait un Where the Hell (défi de Fix) dans les rochers.

En allant prendre le bus, Marc s’est dit qu’il était temps de donner des nouvelles à votre serviteur. Il lui a donc envoyé un SMS de trente mots (défi de Fabienne). Détail insignifiant : il a tout fait avec le nez (rouge). Et souffre depuis d’un strabisme persistant et d’une attitude de poule picoreuse.

Après un autre WTH devant l’Acacia (notre bar fétiche), nos amis sont allés chercher à la gare… un troisième Plizeur, Etienne. C’était prévu, on vous rassure. C’est donc un Spiritual Cornet Trois Boulets qui relève désormais vos défis du côté des Sables, en attendant Amélie et Benji ce week-end.

Retour à la forêt-campement pour dépouiller Etienne et balayer la forêt (défi d’Anne-Laure et Guillaume).

Délestés, les R.E.M foncent en sifflotant vers le centre. Etienne, déjà à fond dedans, veut y aller sur les mains. Il tiendra 7 secondes, puis 4 secondes, puis 4 secondes, puis 3 secondes, puis 12 secondes-mais-on-n’a-pas-tout-filmé, puis 10 ! Le défi de Bonne-Maman est relevé bas la main ! Ou haut les pieds.

“Il est très agile, commente Marc à la manière d’une pub pour Royal Canin. Il maîtrise les arts du cirque, court comme le vent au galop, et détient plus de 9 Prix Nobel.” Il ne croit pas si bien dire : Etienne, profitant d’avoir les orteils libres, a eu le temps de créer le compte Twitter LaMuseGueule1 (défi de Cruz) !

Le nouveau Spi Bou et ses deux fans ont ensuite sué sur le sable, pour réaliser un immense ALLEZ SEDAN ! demandé par Bubune, mais que tous les Ardennais apprécieront.

Puis ils ont réalisé deux nouveaux WTH, sur un tuyau en pierre et un rocher couvert de moules (ne cherchez pas, il n’y a pas de contrepèterie).

Là, ils ont fait déguerpir une dizaine de personnes de l’eau (défi de Julien P.) Mais les sauvés ont paru réaliser que c’était pour un défi, il faudra donc retenter l’affaire. Les SB sont perfectionnistes.

Balayant un panneau, du sable et de l’eau (toujours pour Anne-Laure et Guillaume), le trio a élaboré une chenille humaine de 5 personnes, qui comblera Marie V.

Puis, transformant cette chenille en 4 filles, ils leur ont demandé quand était le changement. “Maintenant, aujourd’hui, demain, après-demain” ont fusé, mais seuls les deux derniers satisfont au défi de Clara, qui continue à se voir grignoter.

Il a fallu ensuite commencer le défi de Mme P. Bueno : “Faire du vent à cinq personnes sur la plage pour les rafraîchir (soyez inventifs !)”. “On leur a posé une question, puis soufflé la réponse pour leur rafraîchir la mémoire” s’étrangle Marc.

Sans transition qui ferait insulte aux minettes, les gars ont joué du cageot. Ils ont acheté des beignets, puis fait un coup fourré (à l’abricot) au vendeur, lui faisant concurrence sous son nez (pas rouge). (défi de C’est Yumbesque).

“Je veux des beignets, des beignets, à l’abricot, oho” alternait dans les chants avec un “ils sont vraiment phénoménaux” qui rime avec abricot. Pour fraise, préférer balaise.

Les cordes vocales reposées, Romain a fait un peu de lecture à voix haute. Ben oui, on lui demande de hurler devant 100 personnes, alors le gaillard lit “ALLEZ SEDAN !” ou plutôt le crie comme un taré.

“J’ai fait peur à un bébé, une vingtaine de têtes se sont tournées vers nous et les deux autres étaient morts de rire” savoure Romain, content d’avoir relevé ce défi de Maks.

“On a aussi fini le xylophone avec des jeunes (défi de Tante Gertrude, épeler à l’envers) et fait du vent avec un journal en plastique et une serviette.

Un Canadien a dit son amour du PLIZ (défi de Marco La Leyenda). Les R.E.M ont fait une série de photos insolites que vous retrouverez bientôt dans la galerie consacrée. (pour Sarah, oui).

Après une VDM autour des zombies (dédicace à Fix) et un WTH (dédicace à Fix, qui doit avoir des actions dans les sigles), les Spiritual ont enchaîné une série de manifestations rassemblant 60, non 80, enfin près de 100 personnes, quoi.

Echecs à la remise de trophées d’une régate (de justesse, il ne manquait que la sono), malgré une rencontre avec la dir-cab du maire et un adjoint bienveillants, puis un autre spectacle de bâton du diable / musique.

Mais devant un autre “show”, Romain s’enthousiasme : Marc parle avec une “chorégraphiste”. “Il faudrait un petit Robert… ah non, il y a Marc, c’est bon !” Avant de taper la discute, Mister Larousse s’est endormi sur une épaule rapidement hostile (défi de Couline)

Figurez-vous que les gars ont prévu de rejoindre les 40 danseuses le 2 août, de leur apprendre une choré puis de réaliser la Flashmob chère à Clem !

On pouvait se dire que la journée était impressionnante. Mais pas assez pour nos amis.

Après un coca, et sans manger (plus d’idée par rapport au défi de Jo ?), Romain a marché 5 km en arrière (défi de l’Homme mystère), sans dire ni oui ni non, (défi d’Amé).

Bon là c’est costaud, donc dodo ? MAIS NON !

Ne me demandez pas comment, mais Marc a récolté une blague (défi de LN), obtenu une réponse convaincante sur la date du changement (défi de Clara) et a pu lécher la glace d’un passant (défi de Mèl) qui l’entendait parler de psycho. Bilan : une journée XXL qui atteint les 430 euros, nouveau record du PLIZ ! Chapeau à eux !

Une idée de défi ? Lancez-vous, lancez-le !

Dans ce deuxième jour du PLIZ 2012, Marc et Romain ratent encore trois 2 CV vertes, dont une 4 L, hurlent presque quelque chose et mangent du foie gras. L’installation aux Sables d’Olonne, les premiers défis réalisés près du sable et pas alone, ils vous disent tout en exclusivité !

Défis relevés : 75 et 97 (plus les fils rouges et les séries en cours). (Voir le tableau des défis à jour)

En banque virtuelle pour La Faim prend fin : 134 euros.

Après avoir été déposés par la gentille Pascale sur la route de Cholet, les gaillards ont lancé la tente. Pour se lever une fois de plus à six heures, bel exploit.

Romain a levé le pouce 45 minutes durant, avant de céder sa place à Marc. En cinq minutes, le mini pouce avait arrêté une gente dame, qui leur proposa 3 km de compagnie.

En fin stratège, Marc refusa. “Autant rester dans un endroit propice au stop”, explique-t-il, fier de son principe. Avant d’embarquer dans la caisse suivante… pour ne faire que 10 minutes de chemin.

Il fallut marcher 10 autres minutes (mais dans le même sens, hein), pour retrouver une place enviable. Le moins haut des Spiritual Boulets jugea le décor enchanteur : “un endroit où l’homme n’a jamais mis ses griffes !”

Après un Where the Hell is Matt (défi de Fix), les compères ont avisé un château pouvant servir d’arrière-plan. Romain Spielberg cadra alors la bâtisse avec ses mains, ce qui eut pour effet… d’arrêter une voiture. Balèse.

C’était Orian, un conducteur dont la voiture était bien, bien chargée. Après une rapide courte paille, c’est donc Romain qui monta à l’avant, un surf calé dans le conduit auditif, tandis que Marc, à l’arrière, ne voyait plus le jour.

Mais la situation peut toujours empirer avec les Spi Bou. 10 h 29 sonnèrent et, les habitués l’auront compris, Marc dut faire le crabe pendant de longues heures, encastré dans un tiroir de commode.

Orian, appartenant curieusement à une association baptisée Amuse, a arrêté le massacre le temps d’un beignet à la framboise “de la taille de ma tête !”. Comme c’est Marc qui parle, comprenez : un mini-beignet assez peu rempli.

Le gentil conducteur a accepté d’épeler xylophone à l’envers, mais pas le nom de la première dame à l’endroit (défi de Célestine). Et pour lui, le changement, c’est… “Maintenant ! Enfin, il y a deux mois.”

Le comité de vérification des défis s’est réuni pour voir si ce cinquième du défi de Clara était acceptable. Mais a priori “non, t’as fumé ou quoi”.

A La Mothe-Achard, une gare miteuse attend nos hommes. Un homme sort presque en pyjus, tasse I love NY en pogne. “Vous n’êtes pas les bienvenus, étrangers” criait son iris.

Romain et Marc rallièrent finalement les Sabdo et… loupèrent une 2 CV verte qui leur fila sous le pif.

Là, le QG des Plizeurs n’a pas changé, si ce n’est que notre bar-resto fait maintenant des pizzas. Et là, les vrais, vrais connaisseurs du PLIZ ont peut-être cerné le problème. Mais nous y reviendrons.

Plus que la faim, c’est la soif (de défis et tout court) qui tenaille Romain. Dans un supermarché, loin des caméras de sécu, il boit six gorgées d’une bouteille de jus de pomme. Ce qui, rapporté au gabarit de l’engin, a pour effet de vider la dite bouteille.

“A la caisse, j’ai voulu payer, mais la caissière croyait que je le sortais de mon sac… Il a fallu négocier sévère pour ne pas qu’elle me l’offre.” Ca peut paraître absurde, mais le défi de Maks a été ainsi pleinement rempli (ou videment, quoi).

Face à la mer, comme disait Calogero, les barbares voulurent crier leur amour, ou n’importe quoi d’autre, à 100 personnes (défi de Maks, encore !). “Mais Romain avait mal à la gorge, la marée était trop haute, enfin trop basse quoi, les gens dispersés, le climat incertain, et avec la crise financière et le contrôle de maths du petit dernier, vous comprenez…”

Partie remise, donc et direction un feu. Rouge, le feu. Remontant la file de voitures, nos philanthropes qui filent aux tropiques (ou pas loin) ont souhaité “Bonne route !” à des automobilistes médusés, plus qu’à des méduses immobilisées en tout cas.

Les réactions ont été diverses et paf ! Un défi de plus en poche (lancé par Mérou).

“Bon, mais tout ça on s’en fout”, interrompt Marc en arrachant la cabine téléphonique des mains de son ami. “Je voudrais que cessent les polémiques sur la prétendue écarlatitude de mon appendice nasal. Ah, et qu’on arrête de se foutre de mon nez rouge aussi.”

Référence à une vidéo postée hier sur notre Page Facebook. “On ne peut pas dire que le défi d’enfiler un déguisement marche ? Que j’ai croisé Rudolf ?” Ce qu’il ne nous dira pas facilement, c’est qu’une nouvelle 2 CV verte est passée sous ce pif… pas vert.

“Ca roule bien, ces caisses”, analyse le duo. “Romain en a vu une autre, mais c’était une 4 L” (rires du comité de vérification). Optant pour des modèles statiques, les Spi Bou se sont fendus d‘une série de photos insolites ou extravagantes (défi de Sarah) : par exemple, un magasin “Atypik” (c’est marqué !) et un casque de motard-extraterrestre.

Le proprio du casque, Alex, se souvient des Plizeurs 2011. Eux qui avaient enchaîné Ricard, soupe et calendos de bon matin (oui, oui, pour un défi). Comme la chauffeuse d’un bus où Marc, Fix et Jack avaient hurlé du Goldman.

Alex a eu la gentillesse d’épeler enohpolyx, mais pas Trierweiler. “Je ne sais pas ce que c’est, je ne connais pas cet objet”, rapporte Marc.

L’allergie à la politique se fit salutaire quand le motard dut répondre à la question : “le changement, c’est quand ?”. Il répondit sans tiquer : “C’est quand tu mets une nouvelle couche” ou quelque chose d’approchant.

Après un SMS bienveillant à Couline (défi de Colin) et une VDM sur un entretien d’embauche (défi d’Anne-Cé), Marc et pas Sophie ont multiplié les prises de contact en vue des défis de la journée prochaine. Ca devrait donner.

Ah, ils ont mangé une pizza tomate-foie gras- gésier de canard- pommes de terre-fromage. Non sans s’être assurés auprès de Jo que son défi leur permettrait de manger une autre pizza, au paradis du genre, sis à Olonne-sur-Mer (Mmm…. Ceux qui connaissent ont croqué leur écran).

“Non, mais ça ira, ce ne sont pas les mêmes fromages…” commencent-ils. J’ai coupé la conversation, mais ils doivent être encore en pleine conférence.

Une idée de défi ? Lancez-vous, lancez-le !

Dans ce premier épisode, les Spiritual Boulets escaladent les grilles d’un cimetière, mangent des fourmis et marchent en crabe. La première voiture à les prendre en stop ? Une BMW, sièges en cuir et vitres teintées. Et ils l’affirment : “nous ne mangeons pas de sopalin.”

Défis relevés : 26, 29, 32, 37, 45. En banque virtuelle pour La Faim prend fin : 90 euros. (Voir le tableau des défis à jour)

Ca y est ! Ils sont partis ! Les Spiritual Boulets inaugurent la 6 ème édition du PLIZ. Avec déjà un défi relevé, grâce à vous tous : dépasser 1.000 euros de promesses de don (Moukale). On est à 3.605 !

Comme de coutume, Romain et Marc sont partis de Longjumeau, le site idéal pour gland… pour préparer le PLIZ. Arrivés dans l’après-midi à la gare, ils ont déjà le feu au train.

La faute à un défi daté lancé par Tante Marie-Claude : “Le 22 juillet, offrir une fleur à une personne prénommée Madeleine”. Heureusement que le PLIZ n’a pas commencé le 14, je vous le dis.
Romain et Marc ont alors procédé comme n’importe qui l’aurait fait. Ils ont pénétré dans le cimetière local en escaladant les grilles, pour fleurir une Madeleine, qui sera restée de marbre.
“Au passage, on a vu un message écrit sur une tombe : “A toi, passant, qui lit ce message, dis-toi que j’étais ce que tu es et que tu seras ce que je suis.” C’est glauque, mais ça nous a fait réfléchir.”

Les SB qui réfléchissent dès le premier jour, on n’avait même pas osé y penser comme défi…

Entre quelques tournages de scènes de Bref, pour le défi d’Alexa (“ça en jette, merci aux cameramen !”), les Plizeurs ont trouvé “une personne mystérieuse” qui connaissait Sylvain Tesson (défi d’Anne-Laure et Guillaume). En creusant un peu, je me suis rappelé qu’il s’agissait de moi, qui vous conte ce périple.

Ce bel oiseau les a également gratifiés d’une blague (il en faudra encore neuf pour le défi d’Hélène). Allez, je vous la livre :

“C’est René Descartes qui va au resto. Il commande un steak. Le serveur lui demande alors :

“Votre steak, vous le voulez avec des frites ?”

Descartes : “Hmm… Je ne pense pas.” Et il disparaît.

Absolument morts de rire (ou, pour être très précis, pas du tout), et après moults aménagements de leurs sacs de rando, nos deux amis sont allés se coucher la paupière pesante. Ah, auparavant, ils ont englouti deux bassines de KFC.

Au matin, un réveil à six heures (si, si !) leur a permis de faire du stop… dans ma cuisine. Je les ai alors déposés au beau milieu d’une voie rapide (sans m’arrêter).

La suite, c’est donc par télépathie vespérale que les Spi Bou (c’est bien le moment de tester des surnoms et diminutifs, non ?) me l’ont transcrise. Transcrite. Transcripte. Dite, quoi.

Pour tout dire, je m’attends à trouver le duo dans un cimetière bordelais, en plein recueillement.

Mais non, ils sont à 40 kilomètres de Tours (y a que moi à qui ça inspire une blague un peu lourde ?).

Marc est à l’appareil : “Ahahahah ! On est à 40 kilomètres de Tours ! Ohohohoho !”

Jack : “Je sais, je viens de l’écrire dans le compte-rendu, ne répète pas ça bêtement.”

Marc : “Mdr ! On a été pris en stop en moins d’une demi-heure. Par une BMW, sièges en cuir et vitres teintées. Hihihihihi ! Un clin d’oeil à la théorie foireuse de Fix, pour qui c’est impossible ! Lol !”

A 9 h 30, les gaillards étaient déjà à Orléans. “Arf, arf, arf ! On nous a déposés dans le centre, ahaha ! Du coup, on a commencé le défi de Fix, danser comme “Where the Hell is Matt”, devant la gare, d’une architecture magnifique. Ohohoho !”

“Une “Nathalie” nous a demandé ce qu’on faisait et du coup, on lui a demandé “le changement, c’est quand ?”. Elle a répondu “aujourd’hui”, donc le défi de Clara est bien lancé !”

Refus, en revanche, de tenter d’épeler xylophone et Trieweiler. “Jeu sui nule en ortografe, maime allo râle”, a expliqué l’amour des JMJ.

Est alors arrivée une question cruciale de ce PLIZ 2012 : que manger ? Pour rappel, un défi de Jo consiste à ne pas manger deux fois la même chose.

“Nous avons opté pour un sandwich poulet ananas, ahahahahaha !” rigole fièrement Marc.

Jack : “Ah… mais vous avez mangé du KFC hier non ?”

Marc : “…”

Jack : “Ah, c’est parce que ce n’était pas le départ officiel des dix jours ?”

Marc : “Oui, voilà !”

A cause du défi de Lu, marcher en crabe de 10 h 29 à 13 h 52 (TOUS LES JOURS !!!), la traversée d’Orléans à pinces a été très remarquée.

Finalement, Marc aura arrêté 3 voitures, et Romain 4. Notons qu’ils ont vu passer une 2 CV verte (un cinquième du défi de Julien P.) sans dégainer l’appareil photo à temps. Parmi les généreux conducteurs : deux militaires, un pompier, un maçon et “un mec chelou très calé en agriculture” (Bubune appréciera !).

Les Spi Bou (j’accroche bien avec celui-là) ont ponctué leurs phrases de “Surtout en Franche-Comté” (défi de Guy et Claire), se sont grattés le nez chaque fois qu’ils prononçaient le mot “Pliz” ou “défi” (défi d’une autre Tante Marie-Claude) et ont terminé leur journée d’hier en croquant un sandwich saumon-salade-fourmis et bacon-oeuf mimosa (c’est pas un défi, il faut juste qu’ils mangent).

Ils ont posté une vidéo avant 19 h 30 sur notre page Facebook (idéale pour ne rien rater des 10 jours de PLIZ), comme demandé par Moukale, où le nez rouge de Marc a déclenché une polémique nationale.

Et à propos de national, Marc a reçu un appel… d’une personne “de la FFF”, lui proposant le poste de sélectionneur de l’Equipe de France. “J’ai refusé (défi de Reno), mais peut-être pas assez sèchement et sans prétexter une allergie à la samba et à la cachaça, a reconnu Marc. Ahahahaha !” Gageons qu’il s’agissait là d’un canular, et que les choses se passeront mieux au prochain appel officiel.

“Nous ne mangeons pas de sopalin !” a ajouté Marc. “Non, Jack, pas de sopalin, de ce pain-là…”

Le soir, il restait aux héros, usés jusqu’au trognon, à jouer une Vie De Merde de leur choix devant la caméra (défi d’Anne-cé) et d’envoyer un SMS chaleureux à un proche (défi de Colin). C’est Chichou qui a dû recevoir des nouvelles de son Marconounichounet (un diminutif).

Devant un magasin But annonçant des soldes “jusqu’à moins 80 %”, Romain et Marc sont pris en main par Pascale, qui les emmène visiter Tours, puis la route de Cholet.

“C’est tout pour les défis, tu n’as rien oublié ?” ai-je le temps de glisser à Marc.

“Ahahahah ! Si ! On a souri en permanence et éclaté de rire à intervalles réguliers (défi de Léti) ! Ohohohoh!” C’est communicatif, non ?

Une idée de défi ? Lancez-vous, lancez-le !